Gaël Faye, un poète avant tout. Il dénonce. Donne la parole aux exclus, aux marginaux, aux pauvres, aux insoumis, rythmée par son flot et accompagnée par des harmonies vibrantes. Il s’émancipe du Rap plus âpre, hardcore, bien décrit dans son titre « Fils du hip-hop« . Après quelques recherches, j’ai appris qu’il était écrivain, il a obtenu le prix du roman Fnac avec « Petit Pays ».
Rappeur ou écrivain ? les Inrocks s’interrogent.
Dans IRRUPTION ou Paris métèque de l’EP musical « Rythmes et Botanique », j’ai aimé ses textes engagés, soutenus par des mélodies à la Kery James, dans un rap moins « brutal ». Cela permet de sensibiliser à mon sens plus aisément et d’ouvrir le Rap à des personnes qui n’en écoutent pas d’ordinaire et ça c’est top !